L’heure de la rentrée a (déjà) sonné ! Histoire de se remettre dans le bain tout en douceur, l’agence Semji a invité Invox à animer un webinar autour des 7 grandes tendances SEO & Content qu’il va falloir adopter dès cette fin d’année (pour cartonner l’année prochaine… eh oui, on vit dans le futur). Vous n’avez pas pu participer ? On vous raconte tout ici !

Tendance #1 : le Content Refresh ou l’optimisation de contenus existants

Avant de vous lancer dans la frénésie de la création de nouveaux contenus, jetez d’abord un coup d’œil à votre patrimoine existant ! Vous êtes peut-être assis sur une mine d’or…

Le Content Refresh, ou optimisation de contenus, désigne tout processus visant à mettre à jour un contenu, afin que les informations restent actuelles, pertinentes et attrayantes pour les lecteurs.

C’est d’autant plus vrai lorsqu’un contenu commence à prendre de l’âge, que vos positions sur les mots-clés visés sont en baisse, que le trafic s’amoindrit ou encore que le sujet traité a largement évolué

En mettant à jour vos contenus existants de manière régulière, vous vous assurez de :

  • garantir une information fiable tout au long du cycle de vie du contenu ;
  • relancer les performances SEO en ajoutant du contenu « frais », et éventuellement corriger la technique ;
  • favoriser l’expérience utilisateur et améliorer le copywriting existant ;
  • adapter le contenu à votre nouvelle charte graphique (et éditoriale, si vous avez tout reconstruit récemment).

 

Les bénéfices du Content Refresh en quelques chiffres

Semji, hôte de cette conférence, a sorti une étude sur l’état des contenus SEO en 2023. Les résultats qui en ressortent sont sans appel :

  • + 60 % de trafic en moyenne quand on optimise un article existant
  • 1 mois environ nécessaire pour qu’un contenu mis à jour gagne du trafic
  • 17x plus de trafic détecté pour une page en 1re position vs. en 10e
  • 10x plus de trafic pour les contenus de + 2 000 mots, par rapport aux contenus de – de 500 mots

Que faut-il rafraîchir dans un vieux contenu ?

Pour donner un coup de boost à votre contenu, agissez sur plusieurs paramètres et posez-vous les bonnes questions :

  • La technique. Vos balises META sont-elles correctement paramétrées ? Contiennent-elles le mot-clé principal de la page ? Le maillage interne est-il bien réalisé, sur des ancres de liens variées ? L’URL est-elle bien rédigée ? Vos vitesses de chargement sont-elles satisfaisantes ?
  • La sémantique. Votre mot-clé principal est-il pertinent ? Enregistre-t-il toujours autant de volume qu’avant ? Votre structure Hn est-elle bien établie ? Y a-t-il de nouvelles informations essentielles à ajouter à votre contenu pour rester cohérent sur la thématique ?
  • Le netlinking. Avez-vous des backlinks pointant vers votre page ? Y a-t-il d’autres liens externes que vous pourriez essayer d’obtenir ?
  • Le SXO. Votre tonalité éditoriale est-elle toujours d’actualité ? Le design de la page reflète-t-il toujours votre image de marque et votre charte graphique ?

En bref, le Content Refresh est une étape incontournable dans toute vie d’un contenu. Dès que les premiers signes d’essoufflement arrivent, faites un check-up complet de votre page pour détecter les améliorations possibles et relancer vos performances !

Tendance #2 : les contenus en kit pour asseoir votre autorité thématique

Le Content Kit

Si vous avez suivi le SEO Square, pas de surprise. Mais si vous débarquez, sachez qu’on a déjà bien abordé le sujet et que notre point de vue n’a pas changé : il est temps de penser vos contenus en kit.

Le Content Kit, ou kit de contenus, désigne le fait de réfléchir à la déclinaison d’un grand sujet business sur plusieurs formats différents. De cette manière, vous gagnez du temps de production, grâce à une approche plus « indus ». Mais surtout, vous multipliez vos chances de performer en communiquant sur plus de canaux, en touchant une plus large audience, et en générant, selon les formats choisis, plus de trafic SEO.

Vous pouvez ainsi créer votre kit de contenus dès votre phase de réflexion sur une nouvelle thématique, mais également réutiliser vos anciens contenus pour créer un nouveau Content Kit.

À noter

Vous avez un ebook pertinent pour vos clients, mais endormi quelque part tout au fond de votre blog ? Donnez-lui un second souffle en le déclinant en un ou plusieurs articles de blog, en une infographie, une définition de glossaire, une vidéo…

C’est l’idéal pour proposer des supports adaptés aux différentes contraintes et préférences de vos cibles. Vous garantissez ainsi une publication plus régulière et proposez une expérience utilisateur claire et cohérente… Et, bien sûr, vous développez votre trafic organique, ce qui doit aider à la génération de plus de leads.

 

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L’autorité thématique : un enjeu stratégique

Cerise sur le gâteau, en prenant la parole de manière régulière sur une thématique, vous développez votre autorité thématique – l’indice de fiabilité et de pertinence que les moteurs de recherche vous attribuent. Parfait pour vous mettre en avant sur les pages de résultats lorsqu’un internaute effectue une requête en lien avec votre thème.

Pour travailler votre autorité thématique, n’hésitez pas à activer plusieurs formats, tels que les tutoriels, les guides, les infographies, les comparateurs…

Tendance #3 : le référencement vidéo pour une com’ plus fun et vivante

Ah, la vidéo… Nous ne sommes sûrement pas les premiers à vous hurler dire qu’il faut absolument vous lancer. Ce sujet déchaîne les passions, et, selon l’étude Wyzol « Video Marketing Statistics 2023 », on voit régulièrement deux camps s’affronter :

  • les entreprises qui utilisent la vidéo comme outil marketing en 2023 (à 91 %) ;
  • celles qui pensent que la vidéo est une part importante de leur stratégie marketing (à 96 %).

Mais :

  • 30 % ne se lancent pas dans la vidéo car ils pensent que le processus de création est trop long ;
  • 10 % pensent que la vidéo coûte trop cher.

Pourtant, l’impact de la vidéo n’est plus à démontrer…

  • 96 % des entreprises disent que la vidéo permet de mieux faire comprendre les produits et services.
  • 95 % confirment que la vidéo les a aidés à améliorer leur brand awareness.
  • 90 % affirment que la vidéo les aide à générer des leads.
  • 91 % confirment que la vidéo leur a permis d’augmenter leur trafic organique !

Et pour ceux qui en doutent : oui, la vidéo est bien l’amie du SEO. En créant des vidéos pour votre site web, vous pourrez obtenir de nouveaux emplacements Google (all, images, vidéos…), améliorer l’expérience utilisateur, augmenter le temps passé sur le site, réduire votre taux de rebond… Autant d’avantages qu’il serait dommage de louper !

Là encore, n’hésitez pas à varier les formats et usages de vos vidéos pour :

  1. faire connaître une offre ou un service ;
  2. améliorer votre image de marque et votre notoriété ;
  3. recruter ou communiquer sur des sujets marque employeur ;
  4. mettre en lumière un partage d’expertise ou un avis d’expert ;
  5. aider à la compréhension d’une notion complexe ;
  6. annoncer/rappeler des événements corporates ;
  7. communiquer sur des actualités « chaudes » ;
  8. présenter un partenariat ou un co-branding…

D’ailleurs, chez Invox, on est fan de vidéos ! Depuis qu’on a commencé, on n’arrive plus à s’arrêter… Jetez un coup d’œil à notre chaîne YouTube pour trouver de l’inspiration et lisez notre super article sur le SEO pour YouTube !

 

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Tendance #4 : les critères EEAT pour vous conformer aux règles de Google !

Petit rappel : que sont les critères EEAT ?

Pour les gourmands, non, on ne parle pas d’Uber mais bien des critères mis en place par Google pour déterminer la fiabilité de certains sites et de leurs contenus. Le but ? Les classer dans la SERP.

Cette volonté émane notamment de la multiplication de fake news, que Google souhaite sanctionner et voir disparaître de ses pages de résultats. Ainsi, à l’origine, le sigle était « EAT » pour :

  • « Expertise » : le fait de démontrer l’expertise de l’auteur/du site afin qu’il soit légitime pour traiter le sujet ;
  • « Authority » : le poids d’un site web reconnu, qui a de nombreux backlinks pointant vers lui, repris par des médias ;
  • « Trustworthiness » : la capacité à accorder sa confiance au site, ce qui passe notamment par les avis clients, des conditions générales de vente bien établies, un paiement sécurisé…

Fin 2022, Google a annoncé vouloir ajouter un second E pour parler de l’« Expérience ». L’idée : mettre en avant les contenus qui partagent des expériences vécues (tests, récits de voyage, témoignages…) jugées plus authentiques que si elles étaient racontées à travers une collaboration commerciale.

Pourquoi c’est important ?

Si tous les sites sont concernés par les critères EEAT, l’accent est particulièrement mis sur les sites « YMYL » (Your Money, Your Life), qui touchent à la santé, à la finance, à l’information publique ou encore au juridique. Comme il s’agit d’informations sensibles, ces sites doivent montrer patte blanche et sont donc plus surveillés que les autres.

Alors pensez à bien respecter les critères EEAT lorsque vous créez un contenu et plus globalement lorsque vous concevez votre site. De cette manière, vous aurez plus de chances de voir votre domaine tout en haut de la SERP !

Tendance #5 : IA & Google Search en route vers le SGE

Comment passer à côté de cette tendance ? 2023 est bien l’année de l’IA, et ça risque de continuer sur les prochaines années. Pour se mettre à la page, Google a lancé Bard, une IA capable de répondre à n’importe quelle question que vous lui poserez, directement sur la page de résultats.

Pour ce faire, l’IA se sert des différents contenus hébergés sur la SERP pour donner une réponse la plus complète et précise à la requête de l’internaute. Les différents sites cités sont donc bien mis en avant dans la réponse.

Pour le moment, cette fonctionnalité n’est pas disponible en France. La SERP n’a donc pas changé d’un poil, mais vous pouvez tout de même tester Bard via une page dédiée. Autre point important à connaître : l’IA est encore en test, les informations proposées peuvent être fausses ou inexactes. Encore un peu de patience avant de pouvoir faire pleinement confiance à Bard. D’ailleurs, on vous laisse en juger par vous-même avec cette capture 😂.

 

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Une évolution qui inquiète

Beaucoup craignent que cette évolution ne bouleverse complètement la manière de rechercher sur Internet. De nombreux propriétaires de sites pensent même que leurs pages seront moins cliquées, puisque les utilisateurs liront directement la réponse à leur question depuis Bard.

C’est ainsi que nous assistons à la naissance du SGE ou « Search Generative Experience » : Google sera bientôt plus un moteur de recherche, il deviendra un moteur de réponse ! Est-ce vraiment la fin du SEO pour autant ? Chacun y va de son avis…

Qu’est-ce que cela implique du côté des propriétaires de sites ?

Pour rester dans la course de Google, il va falloir redoubler d’efforts pour apparaître dans le Top 3. Eh oui, Bard occupera une grande partie du début de la première page de résultats, alors les internautes risquent de moins scroller.

Pensez également à travailler votre autorité thématique et à respecter les critères EEAT pour que Bard vous cite dans ses réponses ! Et, enfin, continuez de produire des contenus qualitatifs, riches en informations, et qui, dans la mesure du possible, se démarquent de la concurrence.

Tendance #6 : des reportings efficaces ou l’art du plan de taggage

Avoir des résultats, c’est bien mais savoir les analyser, c’est mieux ! Les datas provenant de votre site web sont une mine d’or : à vous d’en tirer de précieux enseignements. En cela, le reporting est un élément essentiel à toute entreprise pour :

  • suivre et analyser les résultats, au global ou sur un dispositif/une opération particulière ;
  • détecter ce qui marche et ce qui ne marche pas ;
  • corriger ou reproduire, dans une logique d’amélioration continue.

Mais, avant de pouvoir mettre en place un reporting, il faut déjà choisir sa solution d’analytics. Vous connaissez sûrement Google Analytics (qui représente à lui seul 85,4 % des parts du marché) mais avez-vous entendu parler de Matomo Analytics (notre chouchou chez Invox), ou encore d’AT Internet ?

Ces deux dernières solutions sont conformes au RGPD et à la CNIL, contrairement à GA4. Elles peuvent donc être de bonnes alternatives au mastodonte.

D’autant plus qu’elles permettent de remonter des données plus précises sur votre trafic.

Lancez-vous dans un plan de taggage

Une fois que vous avez choisi votre solution d’analytics, mettez en place votre plan de taggage ! Super… mais c’est quoi exactement ? Facile !

Le plan de taggage est un document (généralement sous format Excel ou Spreadsheet) qui définit comment les données sont organisées et recueillies sur un site web ou une application mobile. Il détermine :

  • les balises ou tags nécessaires pour collecter les données des utilisateurs ;
  • les objectifs de mesure ;
  • les variables à collecter ;
  • les événements à suivre…

Ce qui derrière vous permettra :

  • d’avoir des données bien ordonnées ;
  • d’éviter les données inutiles ou erronées ;
  • d’analyser efficacement le comportement des utilisateurs ;
  • d’optimiser votre stratégie ;
  • de faire le lien avec vos KPI & objectifs business…

Plus concrètement, comment le mettre en place ?

Étape 1 – Définir les objectifs et les KPI à mesurer

Commencez par choisir ce que vous voulez mesurer : les clics sur des CTA, les remplissages de forms, les clics sur des liens de maillage interne…

Étape 2 – Sélectionner et organiser son dispositif de tracking

Vous êtes équipé d’une solution d’analytics… Bon point mais tout ne s’arrête pas là ! Pour pouvoir l’implémenter sur votre site, vous aurez besoin de Google Tag Manager (ou équivalent), et d’un outil de récolte des consentements et de l’acceptation des cookies.

Étape 3 – Formaliser le plan de taggage sur un document

Maintenant que votre stack d’outils est en place, il est temps de peaufiner votre document de plan de taggage. Remplissez les colonnes simples (objectifs et KPI, pages concernées, conditions de déclenchement…) et confiez les plus complexes à un développeur – qui y intégrera des balises de suivi.

Étape 4 – Intégrer le plan de taggage

Pas le plus simple à faire, on veut bien l’avouer ! Heureusement, vous pouvez confier cette étape à un développeur – qui se chargera de compléter votre plan de taggage avec les balises de suivi adéquates, puis d’intégrer ces codes dans Google Tag Manager.

 

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Bonus : suivre ses résultats grâce à Looker Studio

Vous pouvez suivre vos performances directement depuis votre outil d’analytics, mais cette tâche prend du temps et peut vite devenir chronophage (et c’est encore pire si vous utilisez plusieurs outils différents).

Pour vous faciliter la vie, créez un Looker Studio – un outil gratuit proposé par Google, qui permet d’analyser les données issues d’outils de manière visuelle. Une excellente solution pour ordonner et faciliter la lecture de la data, étudier de manière synthétique des périodes précises, et faciliter le partage des données entre différentes équipes ou pays.

Cerise sur le gâteau, Looker Studio est capable de se connecter avec de nombreux outils – en plus de votre solution d’analytics, vous pourrez ajouter des sources de données provenant de la Search Console, de YouTube, de Google Ads, de Semrush… Les possibilités sont infinies pour créer le board de vos rêves !

 

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Tendance #7 : du netlinking qualitatif pour se lier d’amitié avec Google

Nous voilà déjà à notre dernière tendance !

Il fallait absolument qu’on vous parle de la « bonne » manière de faire du netlinking. Commençons par rappeler les différentes façons de se lancer dans le link building :

  • l’achat de liens sur des plateformes spécialisées (Semjuice, Ereferer…) ;
  • les échanges et demandes avec un ou plusieurs domaines, de manière réciproque ou pas ;
  • le Linkbaiting pour publier du bon contenu et attirer naturellement les backlinks ;
  • le Guest Blogging pour prendre la parole en tant qu’expert sur un domaine extérieur au sien pour traiter d’un sujet ;
  • les mentions non liées pour rechercher qui parle de vous à travers le web, mais sans vous faire de liens ;
  • la recherche avancée pour utiliser les commandes Google et afficher les résultats les plus pertinents sur la SERP.

Sur quels critères se baser pour évaluer la qualité d’un domaine ?

Pour choisir un domaine, il est important d’étudier plusieurs critères, sans quoi l’impact de votre lien peut être réduit à néant. Chez Invox, on a notre petite liste de questions à se poser avant de se lancer.

  • Ancienneté du domaine. Depuis combien de temps le site existe-t-il ?
  • Correspondance. Nos domaines partagent-ils la même activité ? Est-ce pertinent de s’échanger des liens ?
  • Authority Score. Le domaine est-il reconnu par Google ? Est-ce un domaine important ?
  • Nombre de backlinks et de domaines. Qui fait des liens vers le domaine visé ? Les liens déjà établis avec d’autres sont-ils solides ?
  • Trafic organique et nombre de mots-clés. Comment est évaluée la puissance du domaine ?
  • Bonne santé technique. Comment éviter une mauvaise expérience utilisateur ?

 

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Ce qu’il ne faut surtout pas faire en netlinking !
  • Recevoir trop de liens d’un coup, à intervalles trop réguliers ou par vagues successives
  • Recevoir énormément de liens provenant des mêmes sources douteuses
  • Recevoir des liens différents, mais systématiquement sur la même ancre
  • Ne faire des liens qu’entre vos différents sites
  • Recevoir de trop gros liens… sans en avoir la légitimité
  • Faire des liens avec des domaines qui n’ont pas du tout la même expertise que vous

FAQ : on répond à vos dernières questions !

Avez-vous plus d’informations sur l’arrivée de Bard dans la SERP ?

Bard est déjà accessible mais le modèle est encore en entraînement, et les informations à disposition peuvent être complètement fausses. Pensez donc à toujours recouper vos sources !

Concernant son arrivée sur la SERP, aucune date précise n’est communiquée pour le moment. D’après les dernières informations officielles, le processus d’installation sur les pages de résultat françaises serait dû à l’attente d’une mise en conformité avec la législation de notre pays. Il faudra donc patienter encore un peu !

Quel(s) outil(s) recommandez-vous pour le netlinking ?

Il existe tout un tas d’outils pour le netlinking. Si vous souhaitez passer par de l’achat de liens, vous pouvez utiliser Semjuice, Ereferer, Linksgarden…

Sinon, vous pouvez aller vous-même rechercher des liens pertinents puis démarcher la personne en charge du SEO au sein de cette entreprise. Pour ce faire, utilisez les fonctionnalités dédiées aux backlinks sur Semrush, Ahrefs, Majestic, Mangools… La liste est presque infinie !

L’autorité thématique est l’équivalent de quelles métriques de la Google Search Console ?

Il n’existe pas de métriques dédiées à la mesure de l’autorité thématique sur la Google Search Console ou ailleurs. Vous pouvez néanmoins vous reporter à votre Authority Score (sur Semrush), ainsi qu’à la position de vos mots-clés stratégiques pour comprendre si Google vous trouve légitime sur vos thématiques d’acquisition.

Est-il préférable de dater ses contenus ? Est-ce nécessaire pour Google ?

Indiquer la date de publication sur vos contenus est une très bonne pratique, pour Google mais aussi pour l’utilisateur.

C’est un bon indicateur d’actualité et de pertinence (d’où l’importance d’optimiser ses contenus régulièrement !). Nous vous conseillons donc de faire apparaître la date de publication, d’autant plus que cela vous permet de rester en conformité avec les critères EEAT.

Les échanges sur un forum spécialisé entre plusieurs abonnés ont-ils un impact netlinking ?

Tout dépend de la qualité du forum sur lequel vous publiez. Si on part du principe que celui-ci est plutôt propre et a de bonnes métriques, vos backlinks auront un impact.

Évitez tout de même de placer trop de liens depuis le même site vers le vôtre, signe que votre profil n’est pas naturel. Et gardez en tête que ce type de backlinks, qu’on appelle UGC, n’est pas le plus puissant aux yeux de Google.

Comment utiliser des vidéos tout en limitant l’impact environnemental de son site web ?

Le premier critère pour limiter votre impact environnemental est le poids de vos vidéos. Compressez-les avant la mise en ligne ou encodez-les, ça sera déjà un bon début.

Pensez également à produire vos vidéos dans des lieux de tournage proches de vos locaux, afin de limiter les gaz à effet de serre. Et sur vos tournages, pensez à recycler vos décors, et à utiliser des appareils à faible dépense énergétique par exemple !

 

Voilà, vous savez maintenant tout des 7 grandes tendances SEO & Content prévues pour 2024 ! Alors restez à l’affût des dernières actus et changements majeurs dans le monde du Content Marketing et du SEO. Ça évolue tous les jours. Envie d’entendre d’autres secrets ? Accédez au replay de la conférence.

 

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