Non, HubSpot n’est pas qu’une solution marketing : depuis ses premiers pas côté CRM avec (à l’époque !) SideKick, HubSpot a bien travaillé ses bases « commerciales » au point d’offrir aujourd’hui l’une des solutions les plus intéressantes du marché pour les entreprises souhaitant aligner marketing et ventes… et pour qui l’idée de n’avoir qu’un seul outil peut être un vrai plus !
Nous utilisons au quotidien chez Invox HubSpot Sales + HubSpot Marketing. Avant d’être un outil que l’on déploie chez des clients, c’est donc un outil que nous utilisons chez nous. La plupart des screenshots provient de notre propre instance – évidemment en ayant pris le soin de masquer les informations nominatives 🙂 .
On se fera un plaisir de vous faire une démo HubSpot plus personnalisée, venez nous parler de votre contexte et nous calerons cela rapidement.
Dans le cadre de notre partenariat HubSpot, nous avançons vite sur cette brique CRM / sales qui mérite d’être plus connue ! Retour sur les différents sujets que l’on trouve intéressants dans l’outil « sales » de HubSpot, vus de notre fenêtre demand generation !
Petit tour (et explications) pêle-mêle :
Avant de plonger dans les différentes fonctionnalités, sachez qu’il existe trois versions différentes de Hubspot Sales :
Suivant la version, évidemment, vous n’aurez pas un accès à toutes les fonctionnalités – ou en tout cas pas dans la même volumétrie. Téléchargez ici un comparatif si vous le souhaitez. Dans tous les cas, vous pourrez aller jusqu’à un million de contacts, donc vous avez de la marge. 🙂
Allez, hop, on commence les différents points à avoir en tête en matière de fonctionnalités. Évidemment, cela ne fait pas tout : la qualité de la structuration des données, la formation des commerciaux pour qu’ils utilisent l’outil de la bonne manière (et rentrent les données !), la modélisation des étapes du cycle de vente, la rédaction des messages-types… comptent pour beaucoup dans l’efficacité d’un CRM et d’une tentative d’alignement marketing-ventes. 🙂
Si vous avez une activité commerciale, il y a fort à parier que vous voudrez suivre les indicateurs de performance de ce que font vos commerciaux. Direction pour cela le Sales Dashboard ou « tableau de bord » avec ses différents graphiques. À suivre ici : les closings, le pipe des contacts (contacts créés > leads > deals > won…), l’attrition des deals entre les différentes étapes du cycle, etc. Vous pouvez jouer sur les filtres avec le choix dans la date, la répartition des différents commerciaux (ou équipes de commerciaux), et les différents pipes si vous en avez plusieurs. À noter qu’il existe une possibilité d’aller encore plus loin dans la personnalisation des dashboards, mais que ceci est – roulement de tambour – une option payante en sus.
Là, c’est super intéressant. Vous pouvez filtrer vos contacts de manière super intuitive (et jolie, disons-le tout net, ça change des vues à la Salesforce, à la Access ou pire à la Excel), et ce sur tous les champs possibles et imaginables (et on a pas mal d’imagination).
L’intérêt est double : vous faciliter l’analyse d’une part (qui est dans quel segment ?), mais aussi et surtout faciliter les actions de vos commerciaux – notamment des inside sales qui ont la lourde tâche de faire le filtre dans les leads issus de l’inbound.
Ces filtres permettent également de faire des tris sur les contacts chez qui il manque tel type d’information (qu’on peut aller glaner sur LinkedIn), sur les derniers leads arrivés d’un certain type d’action (par exemple tous les téléchargeurs de livres blancs de la semaine écoulée), etc.
Il est possible de partager des vues filtrées enregistrées à son équipe, ce qui rend très efficace le passage de bonnes pratiques et le travail sur les process commerciaux !
On n’est pas encore dans du machine learning – mais cela pourrait bien y tendre rapidement – mais une fois que vos infos tournent dans HubSpot et que vous avez un peu d’historique (cela vaut surtout sur les ventes assez « packagées »), le CRM est en mesure de donner un pourcentage de closing estimatif. La recette est assez secrète, mais gageons que cela se base sur les comportements des contacts, l’activité email, la vélocité d’avancement dans les étapes du cycles, les typologies d’entreprises… pour donner une petite idée de ce qui est « closable » ou pas. À suivre avec un œil semi-attentif 🙂
L’une des principales attractions des logiciels de marketing automation réside dans le tracking (bisous le RGPD) de ce que les contacts regardent, ouvrent, cliquent, téléchargent, font… (sur votre site évidemment, hein, on ne récupère pas TOUTE l’activité web de quelqu’un !). Cela se retrouve dans la timeline, au sein d’une fiche contact. Quelques exemples de ce que l’on peut avoir comme informations ci-dessous (avec certaines remontées qui viennent de la partie marketing, cependant) : tâches, ouvertures d’email, clics sur des propositions commerciales, etc.
Les snippets sont l’un de mes outils préférés. C’est déjà très pratique d’un point de vue individuel, mais je pense que cela peut être vraiment une tuerie au niveau d’une équipe de commerciaux. Les sales ne sont pas toujours les meilleures plumes du quartier… et les snippets permettent de leur mettre à disposition des « bouts de mails » prêts à l’emploi.
Les snippets permettent de mettre le focus sur de nouveau produits, ou de s’assurer de la meilleure forme possible sur les paragraphes que les commerciaux peuvent être amenés à réécrire souvent (calage d’un meeting, relance, information sur une offre, etc.).
Les snippets ont également l’énorme avantage de pouvoir reprendre automatiquement des données variables issues de votre base de contacts. Ainsi, sur la mise en avant de notre nouvelle offre « VideoBox » (que je vous encourage à découvrir évidemment), voilà ce que ça donne dans notre interface :
Bien entendu, tout cela prend son sens lorsque l’on comprend que les commerciaux pourront les utiliser directement depuis leur inbox (ici Gmail) :
Et le résultat final, avec la détection automatique des champs et l’injection des bonnes données.
Vous avez mon 06 maintenant 🙂
Nous en parlions juste avant, le fait qu’HubSpot se connecte avec l’outil principal du commercial (sa boîte mail) est un énorme point positif. Et l’intégration est particulièrement bien réussie. Cela permet pendant les échanges avec un interlocuteur de voir si celui-ci est déjà ou non dans la base, de l’ajouter et de renseigner sa fiche contact, sans quitter Gmail ou Outlook, de compléter les infos au fur et à mesure de la relation, de décider du tracking ou non d’un email donné…
Voilà quelques illustrations de ce à quoi cela ressemble…
Ci-dessous, la partie « HubSpot » se situe sur la droite de l’écran, avec les informations qui sont remontées sur une fiche contact d’une personne déjà présente dans le CRM.
Sans quitter la boîte mail, je peux mettre à jour la fiche car je vois qu’elle est très mal renseignée pour l’instant :
Il est même possible de se créer des « tâches » depuis la boîte mail :
Sur chacun des mails, on a également la possibilité de « log » (cela enregistre le mail dans la timeline du contact) et/ou de « track » pour être prévenu avec une petite notification de l’ouverture d’un email (très utile en phase de closing notamment quand quelqu’un ne répond pas à quelques relances).
Nous en parlions juste avant. 🙂 L’outil séquences est génial, mais il faut l’utiliser avec parcimonie. Cela consiste à écrire une suite d’emails (par exemple Email 1 de prise de contact et Email 2 de relance si pas de réponse au premier email) qui seront envoyés progressivement (vous avez le choix du rythme et des conditions d’arrêt de la séquence) à un contact, directement de votre part.
Au-delà du gain évident de productivité, il y a un second effet Kiss Cool (ça existe encore les Kiss Cool ?) : l’analyse de la performance des séquences, avec un reporting assez fin sur les emails qui fonctionnent (ou pas). Du pain béni pour ceux qui adorent tout optimiser et qui veulent monter une machine de guerre commerciale 🙂 !
Si vous avez des présentations-types, un catalogue, des fiches techniques de produits, des cas clients… bref toutes les documentations marketing-commerciales qui ne sont pas personnalisées, l’outil « Documents » est fait pour vous – notamment dans le cas d’une équipe avec pas mal de commerciaux. Non seulement vous êtes sûr que les versions sont bien les bonnes (cela fait office de bibliothèque « officielle » des docs que vos commerciaux peuvent pousser), mais comme tout est – une nouvelle fois – tracké, vous savez qui a regardé quoi à quel moment. Si l’analyse est clairement moins fine (et que l’outil ne tracke pas les propositions commerciales par exemple, qui sont toutes différentes) qu’un outil tel que Tilkee, cela apporte tout de même déjà des choses intéressantes.
Pour ceux qui connaissent Calendly, c’est la même chose, mais directement intégré dans votre CRM. Pour ceux qui ne connaissent pas Calendly, Meetings est la fonctionnalité qui permet à vos interlocuteurs de réserver un créneau dans votre agenda. Moins d’allers-retours pour trouver la date qui convient à tous, et pour certains profils commerciaux (notamment les inside sales) un remplissement du carnet de bal qui se fait automatiquement.
Depuis l’application mobile, il est possible de déclencher des appels directement depuis la fiche contact. Rien de bien terrifiant à ce stade. Là où ça devient intéressant, c’est qu’à la fin d’un appel, on peut enregistrer automatiquement une entrée « appel téléphonique » dans le CRM, et créer une tâche de suivi directement.
Sur la version navigateur, il est possible même de se passer de téléphone et d’utiliser le « click-to-call » intégré. Toute la conversation peut être enregistrée et stockée dans le CRM. Il est alors possible de se préparer une liste d’appels et de les enchaîner avec énormément d’efficacité !
Nous avons un peu levé le voile précédemment dessus, mais l’appli mobile est un condensé des principales fonctionnalités du CRM : consultation (et modification) des fiches contact ou société, suivi des tâches, suivi des transactions (deals)…
L’appli est assez réactive, et le design dans la veine de tout le logiciel (donc bon 🙂 ).
Ça peut sembler un peu gadget, mais l’appli mobile (Androïd) permet de créer des enregistrements dans la base contacts à partir d’un scan (assez efficace pour le coup) d’une carte de visite. Pratique en événements, sur des salons, ou tout simplement si on a accumulé quelques années de retard d’encodage de cartes dans le CRM :). Allez, on le sait, vous avez sûrement quelques piles de contacts jamais activés qui dorment dans les tiroirs (nous, oui, en tout cas).
C’est, à mon sens, une des briques les plus intéressantes du CRM car il offre une perspective très visuelle de l’état d’un pipe commercial (global ou commercial par commercial). Pour chaque opportunité, vous allez créer un « deal », c’est-à-dire une potentialité de propale. Le métier principal du commercial (ou des différents profils si les tâches sont réparties entre « ouvreurs » et « closeurs ») est alors de « faire avancer les deals dans le pipe ».
Un « pipe » est la modélisation de la succession des grandes étapes de votre cycle de vente. Chez nous par exemple, cela inclut le fait de faire un « meeting découverte », puis d’envoyer une proposition commerciale, puis de la présenter, puis de faire une V2, puis de négocier les périmètres et budgets, puis de faire un devis en bonne et due forme et de passer les achats, etc.
La page « deals » (ou transactions en français) est donc la page sur laquelle on aura les encours de propales (leur nombre et leur montant cumulé, dès qu’il est connu) étape par étape, donnant ainsi une bonne idée de la santé de la prospection et des chances de closings dans les prochaines semaines. Cela ne remplace pas la gestion des tâches, qui reste tout de même le quotidien du commercial, mais cela donne une bonne prise de hauteur. On a ainsi des pipes plus ou moins vides, plus ou moins en déséquilibres, etc. Cela aide enfin à identifier le temps que chaque étape va prendre (et de voir les différences entre commerciaux !). Bref, un outil clé !!
Bon, on ne va pas s’étendre trop ici : HubSpot CRM vous permet évidemment de gérer vos tâches, vos rappels, etc. Alors évidemment, il y a quelques petites choses intéressantes – et notamment la possibilité de créer des tâches « en masse ».
Vous vous dites que vous êtes un peu faiblard sur la relance des anciennes propales envoyées le dernier trimestre et qui n’ont pas « closé » (ni en « close won », ni en « close lost »), et que mardi prochain vous vous feriez bien une petite série de calls. Wunderbar! Vous pouvez sélectionner tous les contacts qui correspondent à ces critères, et vous créer une liste de tâches en un seul coup.
On connaît les workflows côté marketing, qui sont la façon de faire des campagnes et des scénarios de marketing automation. Eh bien HubSpot CRM donne la possibilité de faire des workflows aussi côté CRM ! Un peu moins de potentiel donc mais le même fonctionnement : il est possible de faire des enchaînements d’actions suite à un déclencheur (un trigger) comme par exemple envoyer un email, changer une propriété dans un champs, créer une tâche, etc. L’outil du commercial efficace qui veut se focaliser sur les tâches à valeur ajoutée, sur le relationnel, sur le conseil… Un vrai bel outil à creuser !
Traiter des demandes issues de formulaires est un excellent moyen de développer son pipe. Mais il est également possible de le faire en « live », lorsque le visiteur est sur une page. Cela se passe via l’outil de chat d’HubSpot CRM, qui porte le doux nom de « Messages ».
Il est possible ici d’être relativement fin dans la gestion de ce module de chat : vous pouvez en effet choisir de ne le déclencher que sur certaines pages (par exemple celles portant sur une offre), ou de flécher déjà ici vers un commercial ou un autre (par exemple le commercial en charge des offres formations, si le visiteur est passé sur cette page). Le chat est évidemment intéressant lorsqu’un « agent » (un commercial / un inside sales / quelqu’un…) est disponible pour répondre tout de suite, mais la petite fenêtre qui sortira peut aussi, sur les heures sans dispo, se ramener à un formulaire de contact plus basique et générer derrière (merci les automations) une création de tâche pour l’un des commerciaux.
Toute entreprise est particulière… et évidemment chaque process de ventes est spécifique. Dans ce cadre, tout le monde ne récupère pas les mêmes informations, au même moment, avec la même granularité. Il y a donc en réalité autant de CRM et de besoins en matière de données qu’il y a d’entreprises (ou presque).
HubSpot CRM n’est donc pas en reste : via les paramètres, vous pouvez personnaliser tous les champs et en rajouter autant que vous le souhaitez. Cela inclut bien sûr de pouvoir gérer les types de champs : case à cocher, menu à liste (sans doute à privilégier dans bien des cas pour homogénéiser les données), champs textes, boutons de sélection, etc.
Vous pouvez même aller jusqu’à indiquer quelles propriétés sont visibles par défaut pour les sociétés ou les contacts (on l’a vu par ailleurs au niveau des deals / opportunités de ventes), et lesquelles sont obligatoires lors de la création d’une fiche. Cela permet à terme de pouvoir se battre avec les bonnes armes sur l’aspect « data quality ».
Là, on entre dans le domaine du mystique (pour certains clients 🙂 ). Mettons que vous avez envoyé un mail avec une proposition ou une relance à l’un de vos prospects, qui n’a pas répondu encore. Si quelques heures (ou jours) après cet envoi il ouvre le mail (ou clique sur l’un des liens), vous en serez notifié.
Dans pas mal de cas, ce côté « capacité à réagir rapidement » peut être décisif : en effet, ce n’est pas que votre prospect ne veut pas vous répondre, c’est qu’il est pris par d’autres occupations, qu’il manque de temps, qu’il n’est pas dans les conditions d’écoute optimales pour faire avancer le sujet. En sachant quand il est connecté à sa boîte, vous pouvez déclencher un appel téléphonique et l’avoir « au bon moment » pour relancer la discussion.
Vous devriez alors entendre des « Ah tiens je regardais justement votre mail, profitons-en pour en discuter ». Ou alors cela vous permettra d’évacuer les « mauvais » prospects, ceux qui sont simplement en prise d’informations ou qui vous utilisent pour faire baisser le prix d’un concurrent ou challenger une agence déjà en place…
Cela a été l’une des « grosses » annonces lors de Inbound 2017, la conférence annuelle de HubSpot : le fait de pouvoir gérer TOUTE la chaîne relationnelle entre une entreprise et ses prospects / clients. Et donc d’avoir les outils et l’historique d’une relation depuis le tout premier contact marketing (HubSpot Marketing) jusqu’à la vie du client et son « onboarding » (donc post-signature). C’est la brique Customer success / Support… que l’on attend maintenant avec impatience et qui était annoncée au printemps. On y est donc en plein et… pas grand chose de neuf encore !
On voit quand même nettement les potentialités de cette nouvelle brique, qui permettra de s’appuyer sur les moteurs d’automatisation pour gérer les premières semaines de vie d’un client… mais aussi les phases de renouvellement, de fidélisation, d’up-sell ou de cross-sell (qu’on gère actuellement en mode CRM… mais souvent pas de la meilleure des manières).
Coming soon… et donc à suivre 🙂
Jusqu’à présent, la seule chose côté « propale » qui était saisie dans HubSpot CRM (donc pour le suivi des chiffres), était le montant d’un deal, sans autre forme de procès. Certes, via les properties, il est toujours possible de renseigner une sorte de détail des prestations proposées, mais cela reste peu granulaire.
Si l’on souhaite pouvoir faire parler les chiffres un peu plus en profondeur, il est possible de définir un catalogue de produits (dans l’outil bien-nommé « produits » !). Vous pourrez ainsi basculer dans un mode « mini-devis » : d’après nos informations (tadaaaaa !), l’idée de HubSpot est d’automatiser à terme la partie « devis » voire signature électronique. Ce serait bien pour deux raisons : personne n’aime faire des devis d’une part, et cela donnerait beaucoup de puissance pour analyser finement les ventes, produit par produit, en fonction des canaux marketing qui ont pu générer ou influencer le lead. Et cela permettrait aussi, dans une optique très « management des équipes de ventes », de savoir quel commercial est le meilleur sur telle ou telle ligne d’offre. 🙂
Difficile pour moi de vous faire un tour plus complet que cela – déjà 3 300 mots au moins (et c’est pas fini !) depuis le titre de cet article, ce qui en fait l’un des plus longs chez nous, c’est dire si j’ai été inspiré pour ce premier post de l’ère « Hubspot Certified Partner » d’Invox.
Voici pour conclure quelques petites réflexions qui sortent un peu de la démo pure et dure d’HubSpot CRM.
Cela pourrait presque se ramener à la question « un CRM, c’est pour qui ? ». Honnêtement, que vous soyez solo-entrepreneur ou déjà avec une équipe commerciale importante, l’idée d’avoir un CRM efficace, simple, ergonomique (beau ! simple à utiliser ! fluide ! qui charge vite ! qui marche sur mobile !)… devrait tenter tout commercial. 🙂 Même si HubSpot CRM n’est pas le seul à avoir ces arguments (on pense très fortement à PipeDrive, qu’on adore).
En tout cas si vous avez envie de structurer votre démarche commerciale ET que vous partez du principe que le marketing a un impact important sur les ventes et devrait être connecté à la suite du processus de ventes… Eh bien, vous êtes au bon endroit ici.
La partie Sales « free », donc HubSpot CRM Free est déjà un super outil. Vous avez autant de contacts que nécessaire, vous pouvez automatiser certaine choses, vous avez du reporting, de la gestion des tâches, un pipeline de deals… bref, un CRM tout à fait utilisable et personnalisable.
De manière plus « cash », voilà notre conseil pour les 5 grands cas qui existent d’après notre expérience :
Il y a 3 niveaux tarifaires du côté sales de HubSpot :
Téléchargez notre comparatif détaillé de ces 3 versions d’HubSpot Sales !